De nombreuses idoles de la K-pop ont participé à des discussions à l’Assemblée nationale concernant l’industrie de la K-pop. Récemment, les projecteurs se sont tournés vers Hanni de NewJeans, qui pourrait aborder les problèmes liés au harcèlement au travail et dénoncer HYBE.
Le 30 septembre, la Commission de l’environnement et du travail de l’Assemblée nationale a invité Hanni de NewJeans, en prévision de l’audit d’État prévu le 25 octobre, pour discuter du sujet urgent de l’intimidation et du harcèlement au travail.
Le comité a convoqué une session plénière ce jour-là et a approuvé 35 témoins et références avant l’audit de l’État.
Si Hanni est présente, il est probable qu’elle sera interrogée sur les mauvais traitements qu’elle a subis de la part d’un membre du personnel de HYBE, qu’elle a révélés lors d’une émission en direct le mois dernier.
L’attente autour de sa présence est importante, car elle pourrait signifier qu’elle s’oppose à sa société mère HYBE et à son label, ADOR. Si elle choisit de ne pas y assister, elle devra soumettre une explication écrite avec une raison valable.
Le non-respect de ces règles peut entraîner des sanctions, notamment des amendes ou des peines d’emprisonnement.
Avant Hanni, trois autres idoles ont également été appelées par l’Assemblée nationale, dont l’ancien membre de Teen Top CAP (Bang Minsoo), l’ancien membre de Brave Girls Noh Hyeran (Jainros) et l’ancien membre de Bob Girls Heo Yu Jeong.
Les discussions ont porté sur « Le travail et les droits humains des enfants et des jeunes cachés derrière le succès de la K-Pop ». Bang Minsoo a plaidé pour un « système de salaire mensuel » pour les idoles, tandis que Hyeran a partagé ses idées sur la nécessité pour les idoles d’avoir une autosuffisance et une autonomie.
Yu Jeong a souligné le droit des idoles et des stagiaires à recevoir une éducation systématique qui protège leurs droits humains.
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