À la découverte des délices culinaires : un aperçu de la création de snacks de bar de Jung Ji-sun
Dans une vidéo publiée le 8 novembre sur la chaîne YouTube de Paik Jong-won, le chef Jung Ji-sun a présenté un snack de bar unique intitulé « Mala Giss », dont l’ingrédient vedette est la poitrine de poulet. Ce plat met en valeur les subtilités de la cuisine chinoise en y incorporant divers composants aromatiques tels que des feuilles de laurier, des oignons verts et du gingembre.
Une conversation inattendue
Dans la vidéo, Jung Ji-sun a demandé à Paik Jong-won de raconter sa première expérience en Chine. Sa réponse franche – « Je suis parti à la recherche d’un endroit où me cacher après la faillite de mon entreprise » – a laissé Jung Ji-sun moment sans voix, offrant un aperçu du passé du chef.
Défis culinaires et idées fausses
Jung Ji-sun a partagé ses difficultés personnelles dans la préparation de plats à base de poitrine de poulet, admettant : « J’ai toujours pensé que c’était difficile. » Cela a incité Paik Jong-won à remettre en question sa remarque précédente concernant l’accessibilité des poitrines de poulet dans les ménages. La conversation a révélé que Jung Ji-sun avait déjà fait des réserves de poitrine de poulet pour aider son fils à atteindre ses objectifs diététiques, mais qu’elle avait trouvé cela peu attrayant en raison de sa texture sèche. Paik Jong-won a répondu avec humour à cela en exprimant sa surprise, en remarquant : « C’est amusant, vu que tu es Jeong Ji-sun ! »
En évoquant un plat présenté dans « Culinary Class Wars », Paik Jong-won a exprimé son incrédulité à l’idée que Jung Ji-sun ait préparé un plat surnommé « Bain ». Jung Ji-sun a répondu : « Je n’aurais jamais imaginé que cela susciterait une telle réaction. » Paik a précisé que parmi les fans coréens de cuisine chinoise, la reconnaissance du plat « Bain » est assez limitée, estimant que moins de 10 % en connaissent l’existence. Ce commentaire a déclenché une discussion sur les interprétations culturelles de la nourriture, Jung Ji-sun déclarant qu’elle avait espéré présenter le plat de manière positive, mais qu’elle s’était heurtée à des malentendus concernant sa présentation et sa classification en tant que cuisine chinoise ou coréenne.
Le plaisir de cuisiner et de boire
Au cours de la partie culinaire, Jung Ji-sun a révélé qu’elle aimait se livrer à des séances de beuverie en solitaire, un passe-temps qui contraste avec le désintérêt de son mari pour l’alcool. Elle a noté avec humour : « Même s’il y a beaucoup d’alcool à la maison, il n’y touche pas. Il ne buvait même pas quand nous sortions ensemble. » Cette révélation sincère ajoute une touche de compréhension au récit culinaire.
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