La bande-son de la saison 2 de Shrinking sur Apple TV+ mélange avec brio des musiques qui enrichissent le paysage émotionnel de la série tout en accentuant ses moments comiques. Cette saison suit le thérapeute Jimmy Laird, interprété par Jason Segel, alors qu’il navigue dans ses méthodes non conventionnelles pour aider les patients, tout en faisant face au profond chagrin de la perte de sa femme, Tia (Lilan Bowden).
Dans le récit, le mentor de Jimmy, le Dr Paul Rhoades, joué par le légendaire Harrison Ford, remet en question ses idées sur la thérapie, en prônant des limites strictes entre les thérapeutes et leurs patients. Ce conflit permanent est la principale source de tension et d’humour tout au long de la série.
Pour compliquer les choses, Jimmy et Grace (Heidi Gardner), l’une de ses patientes, doivent faire face aux répercussions des actes de celle-ci lors de la finale de la saison précédente, où elle a par inadvertance poussé son partenaire émotionnellement violent dans le vide. Pendant ce temps, Gaby (Jessica Williams), une collègue de Jimmy et Paul, doit gérer ses sentiments pour Jimmy tout en équilibrant ses responsabilités de thérapeute et en s’adaptant à un nouveau rôle d’enseignante.
Chaque épisode de la saison 2 de Shrinking est accompagné d’une bande-son soigneusement sélectionnée qui met l’accent sur les luttes et les arcs narratifs des personnages.
Aperçu de la bande sonore : épisode 1
Le premier épisode s’ouvre avec Paul et sa petite amie, le Dr Julie Baram (Wendie Malick), dansant sur « Born Under A Sun » d’Albert King . Gaby interrompt ce moment privé alors qu’elle conduit Paul au travail, capturant la danse en vidéo, ravie de voir Paul, habituellement réservé, exprimer son intimité avec Julie.
Alors que Gaby conduit, le classique « Your Love » de The Outfield est diffusé brièvement. Paul règle la radio pour échapper aux questions de Gaby sur sa relation avec Julie, et chante même en rythme avec la mélodie entraînante – un moment inhabituel qui met en valeur leur lien.
Plus tard, « Hollow Heart » de C. James ajoute de la profondeur émotionnelle lors d’une scène clé où Paul avoue ses sentiments à Julie. Ce morceau reflète sa vulnérabilité, un moment rare pour un personnage habituellement sur ses gardes.
Le thème poignant se poursuit alors que Jimmy discute du mentorat de Paul avec Sean (Luke Tennie), réalisant l’importance d’avoir Paul pour le guider tout au long du processus thérapeutique.
L’épisode se termine avec « Looking Too Closely » de Fink, marquant une transition importante alors que Sean se lance dans sa première séance de thérapie avec Paul, soulignant un nouveau départ au milieu de la tourmente de leur situation.
Aperçu de la bande sonore : épisode 2
Dans cet épisode, « Never Been Better » de Ben Abraham donne le ton alors que Jimmy partage un moment de tendresse avec sa fille Alice (Lukita Maxwell). La chanson souligne leur lien père-fille tout en capturant l’émergence d’Alice hors des ténèbres.
Pendant ce temps, la confrontation de Paul avec son passé éclate au grand jour lorsqu’il rencontre son ancien patient Raymond (Neil Flynn) dans un club, un changement qui remet en cause le détachement professionnel de Paul.
Alors qu’Alice lutte contre ses émotions concernant la visite imminente de Louis, la chanson « Cope » d’AKA Lisa révèle son conflit intérieur , en particulier lorsqu’elle reconnaît les effets profonds de la perte de sa mère. Alice observe Louis à distance, symbolisant la peur et le ressentiment qui se développent en elle.
Aperçu de la bande sonore : épisode 3
L’épisode met en vedette « Seasons » de Dolly Parton et Bebe Rexha , qui jouent le rôle d’Alice qui réfléchit à l’amour durable de sa mère tout en déposant sa meilleure amie, Summer (Rachel Stubington). Ce moment capture son sentiment de perte et la lutte pour aller de l’avant.
Alors que Grace et sa sœur commencent leur nouveau voyage, « Letting Go » d’Angie McMahon résume leur libération émotionnelle , soulignant leur croissance et leur volonté d’accepter le changement.
De plus, le dîner de Jimmy avec Brian (Michael Urie) lui permet de renouer davantage les liens personnels, tandis que le baiser malavisé d’Alice avec Connor (Gavin Lewis) capture sa bataille continue pour lâcher prise.
Aperçu de la bande sonore : épisode 4
L’ouverture vibrante de l’épisode 4 démarre avec « Bad Decisions » de The Strokes , qui met en parallèle les choix tumultueux d’Alice de la nuit précédente. La chanson met en évidence son chaos émotionnel après avoir couché avec Connor, encapsulant les retombées de ses actions.
Alors qu’Alice tente de s’échapper, sa maladresse la fait tomber du balcon, reflétant ainsi le chaos de ses décisions.
Poursuivant, « Age of Anxiety I » d’Arcade Fire joue pendant que Paul confie à sa fille Meg (Lily Rabe) son étrange capacité à sentir les catastrophes imminentes, soulignant la dynamique relationnelle en jeu.
Le déni silencieux de Gaby de l’appel de sa sœur au sujet de l’accident de leur mère amplifie la tension de l’épisode, mettant Louis sous les projecteurs alors qu’il lutte contre sa culpabilité personnelle.
En conclusion, « Iris » de Goo Goo Dolls sert à relier le moment père-fille de Jimmy, mêlant la nostalgie aux luttes poignantes de la perte et au désir de connexion.
Aperçu de la bande sonore : épisode 5
Dans cet épisode chargé d’émotion, « Bittersweet » de Marc Sibilia capture l’essence des relations ravivées , alors que Jimmy tend une main de soutien à Gaby, illustrant leur lien renouvelé au milieu de défis personnels.
Parallèlement à cela, Paul a un moment de calme avec son ex-femme Susan (Kelly Bishop) qui signifie guérison, reflétant les différentes manières dont les personnages apprennent à faire face à leur passé.
Parallèlement, la lutte de Sean s’intensifie alors qu’il succombe à un trouble intérieur et fait face à une confrontation physique avec les ouvriers du bâtiment. L’essence douce-amère de la chanson souligne la complexité de leurs expériences.
Aperçu de la bande sonore : épisode 6
Alors que Tim (Kenajuan Bentley) rend visite à Sean à l’hôpital, « One (Remix) » d’Alexis Ffrench met en valeur ce moment crucial de réconciliation . La clarté de Tim et son aveu d’erreurs passées illustrent le cheminement essentiel du pardon et du soutien.
Pour clôturer la saison 2, « Escape (John Summit Remix) » de Kx5 et Deadmau5 crée une bande-son appropriée pendant le générique de fin . Cette chanson fait écho au parcours émotionnel de Liz alors qu’elle recherche une validation et une connexion en dehors de son mariage, reflétant sa quête d’identité.
À propos du rétrécissement
Shrinking est une série comique co-produite par Brett Goldstein, Bill Lawrence et Jason Segel pour Apple TV+. Le récit est centré sur un thérapeute aux prises avec un profond deuil, ce qui l’amène à violer les règles éthiques tout en s’adressant directement à ses patients. La série bénéficie d’un casting captivant, dont Jason Segel, Harrison Ford, Jessica Williams et Christa Miller, et a récemment été renouvelée pour une deuxième saison.
Laisser un commentaire