BELIFT LAB a officiellement répondu aux allégations formulées par Hanni de NewJeans, qui a affirmé que des membres du personnel avaient demandé à ILLIT de ne pas tenir compte de ses salutations. En réponse, l’agence a fourni une chronologie détaillée des événements en question.
Le 7 octobre, BELIFT LAB a publié une déclaration contrant divers rapports de K-media qui suggéraient que HYBE, la société mère, avait tenté de manipuler les images de vidéosurveillance liées aux accusations de Hanni.
Cette controverse a surgi au milieu du conflit en cours impliquant HYBE, ADOR et Min Hee Jin, suite à l’affirmation d’Hanni selon laquelle un manager d’ILLIT avait demandé aux membres du groupe de filles juniors de ne pas répondre à ses salutations.
BELIFT LAB a déclaré :
« À la lumière des accusations de plagiat sans fondement, nous demandons instamment que les calomnies sans fondement contre notre artiste débutant concernant les problèmes de salutation cessent immédiatement. »
Selon les mères des membres de NewJeans, les images montrant le personnel « harcelant » Hanni auraient été effacées pour masquer la vérité sur la situation. Cependant, la chronologie fournie par le sous-label indique que les parents ont soulevé la question le 13 juin. Les images de vidéosurveillance du 14 mai jusqu’à la révélation de cette affaire ont été visionnées, révélant que les deux groupes n’avaient interagi qu’une seule fois, le 27 mai.
« Les images ont documenté une brève rencontre de 5 minutes le 27 mai, au cours de laquelle les membres de l’ILLIT sont sortis de l’ascenseur et se sont inclinés à 90 degrés devant Hanni de New Jeans qui était positionné devant eux. »
Le 19 juin, BELIFT LAB a communiqué avec le conseil d’administration d’ADOR concernant les allégations d’Hanni, affirmant que l’incident n’avait jamais eu lieu. Néanmoins, le 14 août, l’ancien PDG d’ADOR, Min Hee Jin, a visionné les images et a émis l’hypothèse que les allégations d’Hanni auraient pu se produire par la suite.
Malheureusement, les images de vidéosurveillance de HYBE ne sont conservées que pendant 30 jours et, comme plus de trois mois se sont écoulés, il n’a pas été possible de les récupérer. Min a accusé HYBE d’avoir intentionnellement supprimé les images concernées.
L’affaire a été portée devant la Commission de l’environnement et du travail de l’Assemblée nationale, qui a convoqué Hanni pour témoigner en tant que témoin de référence concernant des allégations de « harcèlement au travail ».
« Depuis le début de cette affaire, nous avons constamment exhorté nos artistes, y compris ceux des autres labels, à agir avec respect. Nous avons pleinement coopéré à l’enquête.
Malgré les explications fournies, de nouvelles allégations invérifiables sont présentées, ce qui donne lieu à des faits non fondés lors de l’audit de l’État par l’Assemblée nationale. Cela soulève des questions sur d’éventuelles motivations cachées.
BELIFT LAB a également mis en garde ADOR, déclarant :
« Si cette situation devait perdurer et nuire à la réputation de notre entreprise, de nos artistes et de nos membres tout en perturbant leur progression, nous prendrions toutes les mesures nécessaires. »
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