Dr Disrespect s’excuse d’avoir envoyé des messages Twitch inappropriés à un mineur et prévoit de revenir au streaming.

Dr Disrespect a officiellement reconnu les récentes allégations qui ont entraîné son bannissement de Twitch, déclarant qu’il avait effectivement envoyé un SMS à un mineur, selon sa dernière déclaration.

Le 21 juin 2024, des rapports ont émergé sur les raisons de l’interdiction de Twitch de Dr Disrespect en 2020, ce qui a conduit l’ancienne célébrité de Twitch à publier une réponse.

Un ancien employé de Twitch a affirmé que Doc avait été banni pour avoir utilisé la fonction de chuchotement de Twitch pour envoyer un message à un mineur. Cependant, la personnalité populaire d’Internet a d’abord nié que des actes répréhensibles aient été découverts.

Lors de sa dernière déclaration du 25 juin, le Dr Disrespect a affirmé avoir eu une conversation avec une mineure en 2017. Il maintient cependant que les messages n’étaient que des « discussions informelles et mutuelles ».

« J’ai reçu de nombreuses demandes de renseignements au sujet de mon bannissement de Twitch, mais je n’ai pas pu régler la situation en raison de facteurs externes au cours des dernières années. Cependant, avec la récente divulgation des allégations par deux anciens employés de Twitch, je suis désormais en mesure de partager ma version des faits concernant le bannissement », a-t-il déclaré.

« Y a-t-il eu des échanges de messages chuchotés sur Twitch avec un individu mineur en 2017 ? La réponse est oui. Cependant, il est important de préciser qu’il n’y avait aucune arrière-pensée derrière ces messages. Il s’agissait simplement de conversations informelles entre deux individus qui ont pu parfois dépasser les limites de la bienséance. Il convient de noter qu’aucune activité illégale n’a eu lieu, qu’aucune image n’a été échangée et que je n’ai jamais rencontré l’individu en personne. »

« J’ai été impliqué dans un long arbitrage avec Twitch concernant un litige civil, qui a finalement été résolu par un accord. Il est important de noter qu’il ne s’agissait pas d’une affaire pénale et que je n’ai jamais fait l’objet d’accusations criminelles. »

C’est une histoire qui continue…

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