Le streamer controversé Johnny Somali fait face à de nouveaux problèmes juridiques en Corée du Sud
Johnny Somali, de son vrai nom Ramsey Khalid Ismael, se trouve dans une situation juridique précaire en Corée du Sud après une série d’actions provocatrices et de diffusions controversées. Des rapports récents ont révélé qu’il aurait diffusé en public des messages de propagande nord-coréenne, un geste qui pourrait conduire à des accusations plus lourdes à son encontre.
Problèmes juridiques actuels auxquels sont confrontés les Somaliens
Depuis son arrivée en Corée du Sud, Johnny Somali est empêtré dans des controverses judiciaires. Il a d’abord été accusé d’entrave à l’activité économique à la suite d’une diffusion en direct chaotique dans une supérette. Mais ce n’est que la pointe de l’iceberg, car de nouvelles allégations se profilent, notamment concernant sa promotion de la propagande nord-coréenne.
Les implications de la propagande nord-coréenne
Comme l’explique Legal Mindset , expert juridique et YouTubeur , jouer l’hymne nord-coréen peut entraîner des accusations plus graves. Ses activités sur les réseaux sociaux, notamment une publication Instagram mettant en vedette l’hymne nord-coréen, ont fait l’objet d’une surveillance accrue de la part des autorités.
Ce message de Johnny Somali pourrait lui valoir jusqu’à 7 ans de prison en Corée du Sud, d’autant plus que les yeux des procureurs de Séoul surveillent désormais chacun de ses faits et gestes. pic.twitter.com/SHgBVKIFyw
— Legal Mindset (@TheLegalMindset) 18 novembre 2024
Cadre juridique de la loi sur la sécurité nationale
Legal Mindset a expliqué comment la loi sur la sécurité nationale de la Corée du Sud interdit la promotion ou la diffusion de la propagande nord-coréenne. Il a déclaré : « Si Somali avait fait cela pour plaisanter, il aurait peut-être échappé aux poursuites judiciaires ; cependant, la nature répétée de ses actions représente un risque important. » Somali aurait diffusé de la propagande nord-coréenne dans divers lieux de transport public de la ville.
Pénalités potentielles et conséquences juridiques
Johnny Somali pourrait être condamné à de lourdes peines, notamment jusqu’à sept ans de prison pour ses actions liées à la propagande nord-coréenne. Bien que l’on puisse craindre qu’il soit qualifié d’agent nord-coréen, la diffusion d’une telle propagande pourrait néanmoins entraîner de graves conséquences juridiques.
Autres accusations et controverses passées
Les problèmes du Somali en Corée du Sud vont au-delà de la propagande. Il avait déjà attiré l’attention des parlementaires après avoir fait la une des journaux pour avoir embrassé la Statue de la Paix , un monument dédié aux survivantes de l’esclavage sexuel pendant la Seconde Guerre mondiale. Cet acte lui a valu d’être interdit de quitter le pays par les autorités, dans le cadre d’enquêtes sur une possible consommation de drogue, passible d’une peine de dix ans de prison.
S’ajoutant à sa liste d’accusations potentielles, Somali pourrait être condamné à sept ans de prison supplémentaires s’il est reconnu coupable d’avoir utilisé abusivement la technologie deepfake dans un flux qui l’aurait représenté en train d’interagir de manière inappropriée avec un autre streamer, bongbong.
Le point de vue des Somaliens
Malgré la gravité de sa situation, Somali reste optimiste quant à ses chances d’éviter la prison et de rentrer aux États-Unis. Son expérience passée au Japon, où il n’a encouru qu’une amende pour un comportement similaire, semble avoir renforcé sa confiance.
Pour plus de mises à jour sur cette histoire en développement, restez à l’écoute pendant que les autorités continuent de surveiller de près les actions de Johnny Somali.
Laisser un commentaire