Bien que salués pour leur narration captivante et rapide, les récents épisodes de « The Tale of Lady Ok » ont laissé de nombreux téléspectateurs perplexes, car des rebondissements inattendus ont été jugés « absurdes » par les critiques.
Aperçu de « Le conte de Lady Ok »
Diffusé en première le 30 novembre, « The Tale of Lady Ok » dépeint le parcours extraordinaire d’une esclave qui navigue dans la vie sous une fausse identité, aux prises avec son nom inventé, son statut social et même son mariage. Dans son premier rôle principal, Lim Ji-yeon excelle dans le rôle d’Ok Tae-young, équilibrant avec art les moments d’humour et la résonance émotionnelle profonde.
Des performances dynamiques dynamisent le drame
Elle est accompagnée de Choo Young-woo, qui fait preuve d’une remarquable polyvalence dans ses doubles rôles, créant une dynamique romantique captivante avec Lim Ji-yeon. Le casting secondaire, composé d’acteurs chevronnés tels que Sung Dong-il, Kim Jae-hwa et Kim Mi-sook, élève encore davantage le récit, entraînant le public dans le monde tumultueux des personnages.
Problèmes de rythme et rebondissements inattendus
Ce drama a été salué pour son rythme soutenu, condensant les événements marquants – allant de la transformation d’Ok Tae-young d’esclave en noble, à son mariage et à l’effondrement de sa belle-famille – en seulement quatre épisodes. Pourtant, cette chronologie accélérée a conduit à des développements narratifs de plus en plus forcés, aliénant certains téléspectateurs.
Un tournant particulièrement controversé concerne le personnage de Sung Yun-gyeom (joué par Choo Young-woo), qui est révélé comme étant une personne LGBTQ+. Bien que la représentation dans les médias soit essentielle, cette révélation semble incompatible avec la représentation antérieure de son personnage, qui exprimait des sentiments amoureux envers Ok Tae-young avec des déclarations telles que « Tu es la femme que j’aime le plus » et « Je ne peux pas supporter l’idée que tu sois avec un autre homme ». Le passage soudain à la confession « Je ne peux pas tenir une femme » a laissé Ok Tae-young et le public sous le choc.
Développements de parcelles artificielles
Le récit devient plus compliqué lorsque Yun-gyeom est également dévoilé comme le chef d’Aesimdan, un groupe dont l’objectif est de sauver et d’encadrer les enfants issus de minorités dans les arts martiaux. Cette évolution soulève des questions étant donné le contexte politique de l’histoire, où le roi poursuit activement les rebelles, ce qui rend l’entraînement caché des enfants dans de telles circonstances déroutant. De plus, la décision soudaine de Yun-gyeom de confesser son secret à son père magistrat semble incompatible avec son comportement prudent antérieur. Son choix de laisser sa famille en suspens après leur chute contribue également à la confusion qui entoure son personnage.
Bien que des indices suggèrent que Cheon Seung-hwi, qui ressemble à Yun-gyeom, assumera plus tard le rôle du faux mari d’Ok Tae-young, il semble que Yun-gyeom ait pu être utilisé comme un simple élément de l’intrigue, son scénario semblant abandonné après les premiers épisodes.
Regard vers l’avenir
Même si Yun-gyeom a été conçu comme un personnage transitoire, une plus grande cohérence narrative est essentielle pour maintenir l’engagement du public. Si la tendance aux développements d’intrigues hâtifs et illogiques se poursuit, la patience du public pourrait être mise à rude épreuve. Alors que « The Tale of Lady Ok » bénéficie d’une trajectoire ascendante en termes d’audience, il sera crucial pour la série de répondre aux critiques afin de restaurer la confiance des téléspectateurs.
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