L’inquiétude grandit dans le secteur du divertissement quant au sort des concerts et événements de fin d’année à venir. De nombreux acteurs estiment que ce moment pourrait représenter la crise la plus importante à laquelle le secteur du divertissement ait été confronté à la fin d’une année et au début d’une autre.
Annulations d’événements à l’échelle nationale
Les récentes notifications d’urgence ont mis en évidence la complexité de l’organisation de festivals ou de rassemblements locaux sous la loi martiale. Un initié du secteur a souligné la nature imprévisible des événements pendant de telles restrictions, affirmant : « Il est impossible de prédire ce qui pourrait se passer si un événement se tenait pendant la loi martiale. » Par conséquent, cette incertitude a conduit à l’annulation générale de nombreuses activités prévues. En outre, les événements et festivals parrainés par les gouvernements locaux devraient désormais faire face à des conséquences similaires.
Menace contre les événements privés
La situation présente des risques importants pour les événements privés, notamment les concerts et les réunions de fans, qui sont essentiels pour les entreprises de divertissement. En l’absence d’exemples récents pour guider leurs décisions (la dernière loi martiale en Corée du Sud ayant été déclarée en 1980), les professionnels du secteur sont en état d’alerte maximale.
Un responsable d’une grande entreprise de divertissement a souligné : « Nous suivons de près la situation en temps réel. C’est une situation sans précédent pour nous. »
L’industrie du divertissement à bout de souffle
En réponse à ces évolutions, les principales agences de divertissement mobilisent des équipes d’intervention d’urgence pour gérer la crise. L’instabilité entourant les représentations de fin d’année et les activités futures complique le paysage, alors que les entreprises s’efforcent d’évaluer les circonstances qui se présentent.
Source : TenAsia
Laisser un commentaire